Chansons fossoise

Mise à jour : 23/07/2008 14:50:24

MARCHE DE I'U. S. F.

Chanson de l’union Sportive

MARCHE DES SUPPORTERS 

MARCHE DE L'U. S. F.

Paroles de Robert PILLOY Musique de G VAN HAFLEN

A mon frère RAYMOND Président de l’USF

I

De puis quelques années,

Il est dans nos vieux murs,

Un club de renommée.

Et d'avenir bien sûr

Ce sont des jeunes gens,

Qui vont la mine sereine,

Courageux, confiants En l'issue

REFRAIN

des luttes prochaines.

C'est l'U. S. F.

c est l'U. S. F.

Qui joue toujours plein d'espérance.

Car son ardeur, Comm' sa valeur

Ont très souvent forcé la chance.

C'est l’U S. F.

C'est l’U. S. F.

Qui met tout Fosses en liesse

Et c'est vraiment un grand bonheur

De pouvoir dir' je suis des leurs.

II

Quand ils sont en action

Les hommes sur le terrain

Donnent toujours à fond

Pour enlever les deux points.

Autour, les supporters,

Heureux d'les encourager

Ne cessent, car ils sont fiers

Des prouesses de leurs protégés

III

Après l'match dans la ville

Quand la chance a souri

Des groupes s'éparpillent

Pour fêter les points pris.

Et Si, dans la saison

Les chinels voient la défaite,

C'est avec attention

Qu'ils préparent la revanch' complète

IV

Fossois, le beau passé

De notre chère Union

Nous permet d'espérer

De nouvelles maisons.

Animons donc la tâche

De nos vaillants footballers,

Car c'est tous, sans relâche

Qu'ils défendent nos deux couleurs

Chanson de l’union Sportive FOSSOISE

Sur l'air de: « Vas-y Fernand ».

Paroles de M. Georges PHILIPPOT, capitaine de la IIIe spéciale

I

Voilà les … qui s'amènent en douce à Fosses

Pensant bien dompter les p'tits chinels à bosses,

Alois faudrait voir çà

Les p'tits gas fossois

L'on n'les enfoncent pas comme çà.

il faudrait voir nos « rouge et vert » batailler

Et S'approprier vile l'enjeu à leurs nez

Et comme toujours tous nos footbaléres

Triomphent de tous leurs adversaires.

REFRAIN

Vas-y Omer !

Centre la balle en l'air.

Vas-y Wathelet!

Mets la balle dans l’filet.

Chotte comme l'éclair

Et tous les supporters

Clamerons heureux et fiers

Vivent les « rouge et vert ».

II

Voilà nos joueurs qui arrivent sus l'terrain.

La lutte commence pour avoir les deux points.

L'adversaire a peur

Devant la fureur

De nos p'tits fossois tout pleins d'ardeur.

Voilà Henri Stampe qui part tenter Sa chance.

Regardez-le comme il drible la défense

Et d 'un chot-téclair

Renverse le keeper

Aux cris joyeux des supporters.

REFRAIN

Vas-y joseph !

Feinte et centre en vitesse

Vas-y Camille !

Ne les laisse pas tranquilles

Ils n'en peuvent plus.

Les . .. sont foutus.

Ils n'ont plus rien à faire

Contre les « rouge et vert ».

III

Rien ne saurait arrêter la fougue fossoise,

Pas même les joueurs d'une équipe liégeoise.

Quand Auguste Abeels

Dégage en chandelle

Tout le mande crie « oh! Merveille »

Il faudrait voir notre Clément dans ses bois.

Vous diriez vraiment à le l'air qu'c 'est un chat.

El le p' tit Viroux

Lui qui est partout

N'a pas peur de se casser l'eau.

REFRAIN

Vas-y Bernard

Passe la balle aux forwards

Vas-y Gochard!

Montre leurs qu't'es un rempart

Et toi Braibant

N'aye pas peur, rentre dedans.

Alors nous serons fiers De tous nos « Rouge et Vert ».

 

Après le match, remplacez les points par le nom d l'équipe adverse.

PRIX: UN FRANC.

 

 

 

MARCHE DES SUPPORTERS

Paroles et Musique de Robert PILLOY

A Me Gérard DECOUX président d'Honneur de L’USF

I

C'est nous les supporters.

De l'Union chère aux Fossois

Un club dont nous somm' fiers

Et qui nous met tout en émoi

Ensemble aux déplacements

Joyeux nous partons

Et nos encourag' ments

Font Cette chanson

REFRAIN

Allez l’union Allez l'union

C'est pour vous encourager

Que derrière vot' joli fanion

Nous nous somm' tous rassemblés

Allez l'union Allez l'union

Chacun fera son devoir

Pour que dans notr' vieux terroir

On soit heureux Allez l'union,

II

Au cours de son passé,

L'Union a connu des défaites.

Mais a aussi gagné,

C'est ce qui nous met l’cœur en fête

Et nous sommes toujours là

Pour la soutenir

Et assurer.... n'est-ce pas?

Son bel avenir,

III

Seulement, mes chers amis,

Soyons calmes dans la liesse,

Faisons que tous nos cris

Ne blessent jamais le monde adverse,

Ou ils nous coûteraient

Souvent les deux points.

Et, de plus, ce serait

Injuste et vilain.

IV

Et toujours quand les fossois ont perdu

Il ne le font pas voir

Car c’est la défaite pour le village

Il rentre à la maison tous penneaux

Sans rien dire à personne